Histoires retrouvées: un album de Famille








































Je m´ appelle Mariam. Je suis une femme qui refuse de se raser. Depuis 20 années j´ai epiliée chaque jour le cheveaux dans mon face. Mais un jour j´ai realizée, que tout mon corp est bon comme il est. Est qu´il y a raison qu´il y a un barbe dans mon face. Et j´ai stopée de epiler. J´ai ecrit un blog en alemand dans le internet pour fair savoir les autres comme il est d´être une femme à barbe dans notre temps. Le blog est en alemand. www.fraumitbart.de

J´ai me demandez si je suis plus moi meme, quand je laisse mon barbe. Je pense que l´empilation est une mirror pour le pensement de l´homme. L´homme fait raser tout le planet. L´homme pense qu´il sait mieux que le dieu. L´homme change son corp, mettre du plastic dans le corp des femmes, raser le cheveaux du corps. Les cheveaux de corps sont comme les arbres du planet! Et le plastic et surtout le planet! Et la situation sur le planet est le mirror comme nous traitent nous mêmes!

– Quand nous commencons de aimer nous mêmes – nous commencons a aimer le planet et traitent le planet different avec amour et sans le pensement de nous les hommes besoin a changer tout!!

I am Mariam. I have facial hair. 30 % of all the women in the world have a lot of facial hair and could grow a beard. I decided to let my beard grow. This was about 4 years ago. Like many women I did pluck my facial hair for more than 20 years. Then one day I realized that this was not right. I stopped and watched what happens if I let it grow. I documented my experience in a blog in the internet. During the last four years I did visit different countries and worked on festivals as a bearded woman to inform people and to give people psychic readings and palmreadings. If you like to read more there is a blog in german: www.fraumitbart.de And there is a blog in English shorter than the german blog, as I did not translate it all: http://beardedwoman.wordpress.org








Pour l’exposition « Femmes », Francesco Viscuso a travaillé à une série de portraits de femmes en imaginant un « album de famille » dans lequel les photographies, les textes et les objets racontent des histoires – réelles et imaginaires – qui se mélange et dialoguent entre elles sur le thème de la Liberté : de genre, d’expression et d’opinion. L’horizon sociopolitique et culturel dans lequel nous vivons a depuis toujours imposé un système de schema de jugement dans lequel la réflexion sur la différence entre bien et mal, juste et injuste, moral et immoral laisse peu d’espace au plus nécessaire approfondissement des conditions psychologiques et individuelles qui déplacent chacun de nous à la recherche de sa propre identité. La question féminine reste encore aujourd’hui ouverte, et d’une grande importance pour la construction d'une société enfin libérée de toutes les formes d'esclavage: physique, mental, moral et politique.